Solidarité internationale, développement durable, aide humanitaire, coopération au développement, entraide, coopération internationale… Autant de concepts qui véhiculent des définitions confuses. Même pour les personnes qui sont amenées à travailler dans ce domaine ce n’est pas toujours clair. Comment aider ? Qui soutenir ? Comment lire un bon projet de développement ?

Pour répondre à ces interrogations, GeTM a mis en place une offre de formations destinées aux élus ainsi qu’au personnel administratif du canton de Genève en charge de l’aide au développement. Il s’agit de sensibiliser sur les problématiques de l’aide au développement.

En effet, les communes genevoises sont de plus en plus sollicitées pour des appuis à des projets de solidarité internationale. Et ce n’est pas toujours évident de choisir entre les projets spécialement lorsque l’on n’a pas la connaissance de tous les éléments clés.

Comme chaque année depuis 2008, La FGC et GeTM s’associent pour donner un cycle de 3 formations. Celles-ci auront lieu cet automne. Leurs objectifs seront de comprendre : Qu’est ce que la coopération internationale et ce à quoi elle sert. Comment lire un projet d’aide au développement ? Les participants sont aussi invités à partager leurs expériences.

La formation est assurée par notre Secrétaire Général Alejandro Mackinnon en charge des projets en Afrique et au Pérou.

Date des formations :

Qu’est-ce que la coopération internationale ?

Jeudi 30 octobre 2014 de 18 :30 à 21 :00

Comment identifier les bons projets ?

Jeudi 6 novembre 2014 de 18 :30 à 21 :00 

Partage d’expériences

Jeudi 20 novembre 2014 de 18 :30 à 21 :00

 Lieu : Fédération Genevoise de coopération, Rue Jean-Charles Amat 6, 1202 Genève

Formateur : Alejandro Mackinnon est diplômé en études du développement.

Avec plus de 25 ans d’expériences dans la gestion et le suivi de projets de développement social en Amérique latine et en Afrique, il s’est particulièrement intéressé à l’accompagnement d’actions participatives de renforcement de la citoyenneté et du pouvoir d’agir des groupes sociaux marginalisés. Sa vision se construit à partir des approches territoriales, environnementales et interculturelles.